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Les piliers de l’IRIC : rencontrez Sandra Weber
Publié le 1er décembre 2023
En 2023, l’IRIC fête ses 20 ans. Parmi les initiatives mises en place pour célébrer cet anniversaire, la série de portraits « Les piliers de l’IRIC » permettra de mettre en lumière les personnes qui ont contribué depuis les tous débuts, parfois dans l’ombre, à faire de l’IRIC ce qu’il est devenu.
Aujourd’hui, rencontrez Sandra Weber, conseillère à la recherche dans le laboratoire de Marc Therrien à l’IRIC.
Sandra Weber a complété sa maîtrise au département de microbiologie et immunologie de l’Université McGill. Elle a ensuite fait quelques stages avant de trouver un poste, en 1995, dans le laboratoire de Martine Raymond à Institut de recherches cliniques de Montréal (IRCM). En 2006, après plus de 10 ans à l’IRCM, elle débute à l’IRIC suite au déménagement du laboratoire de Martine Raymond.
Comme conseillère à la recherche dans le laboratoire de Marc Therrien, Sandra travaille sur un projet de recherche extrêmement prometteur dont l’objectif est d’identifier de nouveaux inhibiteurs du proto-oncogène RAF impliqué dans divers cancers et de les accompagner dans leur développement clinique. Dans le cadre de son travail, elle a la chance de travailler avec une équipe multidisciplinaire de l’unité de découverte de médicaments de l’IRIC, ainsi qu’en collaboration avec les plateformes de criblage et de génomique.
Qu’est-ce qui vous motive à rester à l’IRIC après toutes ces années?
Selon moi, l’IRIC offre un excellent milieu de travail. Nous avons la chance de disposer de nombreuses plateformes internes ainsi que d’une infrastructure solide (administrative, informatique et équipement) qui jouent toutes un rôle important dans l’avancement de nos objectifs de recherche. Mes collègues de l’IRIC sont aussi une autre raison. J’ai eu la chance d’en connaître plusieurs au fil des années!
Parlez-nous d’un accomplissement ou d’une réussite vous impliquant à l’IRIC qui vous rend fière:
Je suis fière que mon travail ait contribué à la publication de plusieurs articles au cours des années. Je suis également fière de faire partie de ce projet soulignant le vingtième anniversaire de l’IRIC!
Pouvez-vous nous parler d’une figure marquante, d’un modèle, d’un(e) mentor à pour vous à l’IRIC?
J’ai eu la chance d’être encadrée par Martine Raymond pendant plus de vingt ans comme assistante de recherche dans son laboratoire. Je lui serai toujours reconnaissante de m’avoir inculqué le souci du détail, la rigueur du raisonnement scientifique et l’esprit critique.
D’hier à aujourd’hui, qu’est-ce qui a le plus changé à l’Institut?
En 2006, lorsque je suis arrivée à l’IRIC, il n’y avait que quelques laboratoires qui étaient occupés. Les couloirs étaient plutôt calmes et on avait l’impression d’être presque seuls dans ce nouveau et grand bâtiment. Clairement, ce n’est plus le cas!