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Les piliers de l’IRIC : rencontrez Isabelle Caron
Publié le 28 juin 2023
En 2023, l’IRIC fête ses 20 ans. Parmi les initiatives mises en place pour célébrer cet anniversaire, la série de portraits « Les piliers de l’IRIC » permettra de mettre en lumière les personnes qui ont contribué depuis les tous débuts, parfois dans l’ombre, à faire de l’IRIC ce qu’il est devenu.
Aujourd’hui, rencontrez Isabelle Caron, technicienne en santé animale pour la plateforme de Biologie in vivo.
Originaire de Québec, Isabelle Caron termine ses études en Techniques de santé animale au Cégep de Sherbrooke en 2000 et travaille quelques années à l’Université Laval. En 2002, elle fait le grand saut et déménage à Montréal.
Après avoir travaillé au centre de recherche Fernand Séguin, maintenant nommé le Centre de recherche de l’Institut universitaire en santé mentale de Montréal (CR-IUSMM), Isabelle se joint à temps partiel au laboratoire de Sylvain Meloche, dont les bureaux étaient temporairement situés au pavillon principal du campus de l’Université de Montréal, pendant la construction de l’IRIC. Elle joint ensuite l’IRIC à temps plein.
Elle a gentiment accepté de répondre à quelques-unes de nos questions :
Pourquoi avez-vous joint l’IRIC
Il y avait une toute nouvelle plateforme de biologie in vivo, tout était à construire et c’était, pour moi, très stimulant.
En quoi consiste votre travail à l’IRIC?
Étant technicienne en santé animale, je veille au bien-être des colonies et au respect des protocoles. Je m’assure d’utiliser ou de développer les meilleures techniques d’administrations, de prélèvements et de chirurgies en collaboration avec les différentes équipes de recherche.
Qu’est-ce qui vous motive à rester à l’IRIC après toutes ces années?
J’adore mon travail et les modèles avec lesquels je travaille. J’ai aussi développé des liens solides avec les diverses équipes des laboratoires.
Parlez-nous d’un accomplissement ou d’une réussite vous impliquant à l’IRIC qui vous rend fière:
De manière générale, l’élaboration de l’étude en passant par la production des modèles jusqu’à la collecte. C’est un bonus si les résultats de l’expérience sont concluants et que la satisfaction des équipes de recherche est au rendez-vous.
Pouvez-vous nous parler d’une figure marquante, d’un modèle, d’un(e) mentor à pour vous à l’IRIC?
Marc Saba-El-Leil m’a donné l’opportunité de faire mes débuts avec la gestion des colonies du laboratoire de Sylvain Meloche. Maintenant à la PBIV, (plateforme de biologie in vivo) Marc porte plusieurs chapeaux. Il est disponible, a de nombreuses connaissances et m’apporte toujours son support.
D’hier à aujourd’hui, qu’est-ce qui a le plus changé à l’Institut?
Concernant la plateforme de biologie in vivo, nous sommes passés des soins de bases et de gestion de colonies à l’élaboration et l’exécution de diverses études. Nous avons également développé un logiciel de gestion de colonies appelé Vivarium.